Politique

• Accueil •
• le facteur Golah •
• haine des Juifs •
• Droit international •
• Les laquais Cathodiques •
• Le vent des illusions •

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

POURQUOI, QUAND IL SAGIT DE JUIFS, LES DROITS DE L’HOMME NE S’APPLIQUENT PAS ?

 

Touts les organisations des droits de l’homme se sont mobilisées comme un seul homme contre ce qu’ils appellent le « Blocus  imposé à Gaza » de la part d’Israël. Toutes les organisations se plaignent qu’une véritable catastrophe humanitaire. Ces organisations ne voient-elles pas ce qui se passe à Sdéroth ?

 

Rappelons un adage talmudique : «  Quiconque manifeste de la compassion pour des personnes cruelles, sera en définitive amené à être cruel. » Comment expliquer cet adage ? Pourquoi  deviendrait-on cruel soi même si l’on éprouve de l’empathie pour une personne cruelle ?

Quand on considère le comportement de toutes ces organisations  qui ne voient que la souffrance d’une seule partie et n’éprouvent aucune empathie envers les habitants de toute une ville, envers des enfants qui n’arrivent plus à dormir, aux femmes enceintes, aux vieillards ? Ces organisations n’ont jamais mis les pieds à Sdéroth, comment peuvent-ils parler de catastrophe humanitaire sans jamais pris soin de voir de près    la vie à Gaza et   la vie à Sdéroth ?

Ces personnes qui, pour laver leur conscience quelque peu chargée, voit pourtant les images de ce qui se passe à Sdéroth alors pourquoi pas un seul mot de pitié pour tous ces gens qui vivent dans la peur et l’angoisse !

C’est ce que le Talmud voulait dire. Ces organisations, à force de protéger des hommes cruelles qui n’accordent à la vie aucune importance, à force de n’avoir pitié que pour un enfant palestinien, sont devenus cruelles elles mêmes. La souffrance est devenue sélective. Pourtant, personne n’ignore que les palestiniens sont passés maîtres dans la dissimulation, la tromperie, la mise en scène, le cinéma, le mensonge, Ils tronquent les faits et lancent à travers toutes les télévisions du monde des images qui sont de véritables montages. Face à une caméra les palestiniens perdent tout sens de vérité, et de justice. Tout ce qui peut noircir l’image d’Israël dans les médias ils en sont friands. Ils bénéficient de l’appui de 23 pays musulmans, de la télévision Algésiras et de l’amitié de tous les antisémites. Ces derniers sont nombreux. Ce qui fait que les organisations  qui défendent les droits de l’homme sont assurées de la sympathie d’un grand nombre de personnes à travers le monde.

Tous les peuples de la terre  savent que les Juifs sont miséricordieux, charitables et compatissants, qu’ils ne peuvent pas rester insensibles face à la souffrance des hommes. Cette qualité n’est jamais payée de retour. En définitive, avoir pitié des hommes qui poussent la cruauté au point de faire de leurs enfants des bombes humaines, et qui manifestent leur joie d’envoyer à la mort des enfants pour tuer, massacrer et semer la souffrance et la haine, est une grossière erreur.

Dans l’histoire d’Israël on trouve plusieurs cas où les Hébreux ont eu pitié de leurs ennemis et leur ont laissé la vie sauve. Ce comportement leur a coûté cher. Saül a eu pitié de Amalek, en conséquence nous avons eu Haman.

 

Tous ceux  en Israël qui remuent ciel et terre et alertent toutes les organisations des droits de l’homme parce qu’on a arraché quelques oliviers des Palestiniens, ne se préoccupent en aucune façon des morts de Sdéroth et des enfants qui ne peuvent plus dormir.

Comment voulez-vous qu’on  ait de l’empathie pour des enfants angoissés, perturbés, manquant de sommeil à partir du moment où les autres envoient leurs enfants à une mort atroce en faisant d’eux des bombes humaines. Nous rentrons dans l’ère de l’absurde, de la sauvagerie absolue. Le monde régresse à un niveau où il n’y a plus de morale, et de sentiments de pitié.

Il n’y a plus de bon sens dans ce Moyen Orient, Comment peut-on admettre que ces organisations des droits de l’homme puissent alerter le monde sur la misère des habitants de Gaza, alors que sur le compte bancaire de Mr Arafat on a trouvé une somme d’un milliard de dollars ? Ce qui est le plus inquiétant est le fait que la plupart des jeunes de Gaza n’ont jamais rien fait de leur vie que de jouer au soldat. Ils ont été tellement formatés à faire la guerre que le retour à une vie normale et paisible  leur paraît presque impossible. Ils se sont tellement attachés à la kalachnikov qu’ils ne voient plus d’autres perspectives.

 En conclusion, aucun problème moral ne se pose en ne tenant aucun compte de tout ce que font et disent ces organisations dites des droits de l’homme. Quiconque veut manifester de la pitié qu’il commence déjà par avoir pitié de son propre peuple et des enfants de Sdéroth qui vivent dans la terreur.  

    

 

DES JUIFS QUI N’ONT (VRAIMENT) RIEN A FAIRE.

 

 

 

Par Schlomoh Brodowicz pour Guysen International News

 

 

Qui ne connaît ce célèbre mot de Sacha Guitry : « Si ceux qui disent du mal de moi savaient exactement ce que je pense d'eux, ils en diraient bien davantage. » Quant au peintre et écrivain dadaïste Francis Picabia, il ne s’embarrassait pas d’académisme quand il écrivait : « Ceux qui médisent derrière mon dos, mon c… les contemple ».

Car sachez chers lecteurs qu’en matière de lecture, le dernier hot spot, le trendy de chez trendy, le grand chic de la prose de caniveau consiste désormais à faire saliver le grand public devant les récits craquants des secrets d’alcôve de ces grandes dames du podium politique. Elles ne sont évidemment pas toutes égales devant le déballage. Car les malheureuses que le Ciel aurait dotées d’un glamour de pruneau d’Agen n’auront évidemment pas la chance d’être de celles qui font la joie des « journalistes d’investigation ». Qu’elles soient ici assurées de notre compassion.

Et pour le coup, ces derniers jours, c’est l’ex Première dame de France qui s’y colle. Pas moins de trois bouquins lui sont consacrés. Au noble titre bien sûr, du sacro saint « droit de savoir », mais on l’avait deviné. Pourtant l’auteur de ces lignes ne croirait pas utile d’abreuver un respectable site juif d’une telle chronique s’il ne se sentait pas envahi par un sentiment de dégoût en constatant que trois des noms qui sont à l’origine de ces torchons sont juifs.
Car si nous Juifs sommes fiers d’avoir été désignés de toute éternité comme le Peuple du Livre, alors à défaut d’incarner pleinement cette auguste distinction, il est tout de même de la responsabilité de tous ceux qui revendiquent leur appartenance à ce peuple de ne pas la profaner.
Alors quelques rappels, si vous le voulez bien. La Tradition de Moïse et tous les maîtres qui s’en sont faits les passeurs à travers les siècles tiennent la médisance pour le pire des péchés. Cette cuisante interdiction de colporter des ragots figure déjà dans le Lévitique (19,16). Le roi Salomon écrivit ensuite dans le Livre des Proverbes (18,21) que « la mort et la vie sont au pouvoir de la langue ». Le Talmud dispose lui que s’il est permis de transgresser la Loi d’Israël pour sauver sa vie, il est en revanche trois interdictions qu’un Juif ne saurait commettre, dût-il en perdre la vie. Ce sont : le meurtre, l’adultère et l’abjuration de sa foi. Quant à l’interdiction de la médisance, ajoute le Talmud, elle est aussi cuisante que les trois réunies !

Alors chers lecteurs, faut-il être un « ultra orthodoxe » habillé par Baranne (non pas Paco…) du chapeau à la semelle pour faire sienne une telle profession de foi ? Car les éditeurs, les auteurs et les lecteurs communient bien tous ensemble dans l’idée que de tels bouquins n’ont d’autre propos que celui de faire sonner les tiroirs-caisses. Qu’on ne sort pas informé mais avili de telles lectures. Que la profession de journaliste, la démocratie, les métiers de l’information (pour ne rien dire de la littérature…) ne sortent pas grandis par ces impuissants folliculaires pour reprendre un mot de Balzac.

Lorsque Bob Woodward et Carl Weinstein du Washington Post s’obstinèrent à affronter la cécité malveillante de l’administration américaine, pour remonter les fils qui menaient des plombiers du Watergate à la Maison Blanche, ils firent œuvre pie pour la démocratie. Des têtes tombèrent et pas des moindres puisque l’ultime fut le président Richard Nixon. Mais la démocratie tant exaltée par Tocqueville en sortit grandie. Une nouvelle ère s’annonçait où tous les coups bas ne seraient plus tolérés.

Lorsqu’en France, Pierre Péan et Philippe Cohen publièrent « la face cachée du Monde », il ne s’est pas agi de sombres racontars mais de révélations édifiantes sur les mœurs cyniques et éhontées de gens qui présentaient leur quotidien comme un parangon des vertus républicaines et laïques. Du reste, cette parution entraîna une vaste remise en question à la rédaction du quotidien dont plusieurs journalistes démissionnèrent après avoir publié eux-mêmes des ouvrages très critiques. Bien sûr, avec un tirage de plus de 200 000, il y avait de l’argent à prendre mais du moins le lecteur n’était pas le dindon de la farce.

Mais faut-il que certains Juifs n’aient aucune mémoire ?
Rappelez-vous : en 1965, le très sulfureux Roger Peyrefitte publiait un livre qui fit scandale : « Les Juifs ». Cet ouvrage qui se voulait une étude de mœurs était en réalité un fatras de prose faisandée qui comportait, entre autres, un travelling nauséeux sur les lois juives de pureté familiale et leur prétendue mise en pratique dans les chambres à coucher d’une illustre famille juive de France, laquelle famille obtint par référé que ces pages à vomir soient retirées.

Et la « rumeur d’Orléans », cela vous dit quelque chose ? Alors voilà une antisèche. À la fin des années 60, il courut à Orléans le bruit que les cabines d’essayage de magasins de lingerie féminine tenus par des Juifs comportaient des trappes dans lesquelles certaines clientes disparaissaient pour être ensuite livrées à des réseaux de prostitution… Tous les démentis officiels de la police affirmant qu’aucune disparition de femme n’avait été signalée dans la région n’eurent pas raison de ce ragot. Il ne s’usa qu’avec le temps.

Alors des Juifs, censés s’offusquer des calomnies à l’encontre d’Israël dont la presse nous abreuve régulièrement ne pourraient-ils pas laisser à d’autres le soin de satisfaire les pulsions voyeuristes ?

Gardez-vous d’acheter de telles horreurs car l’interdiction de « prêter main forte à ceux qui fautent » fait aussi partie de la Tradition de Moïse.

Quant à ceux qui auraient déjà franchi le pas, qu’ils se rappellent la réponse faite par Henri Jeanson à un journaliste d’extrême droite qui lui demandait ce qu’il pensait d’un article dont il était l’auteur : « Je l’ai lu ce mat